Depuis mes 10 ans, je suis passionnée par les chevaux, une passion que je partage avec mon papa. Cette passion, plus orientée vers le cheval que le sport équestre lui-même, m’a aidé à bien des endroits adolescente, à prendre notamment confiance en moi, à créer ma bulle de sécurité où je pouvais créer mon univers, à identifier mes propres besoins fondamentaux et à développer mon pouvoir empathique. Avec plus ou moins de difficultés certes C’est tout le challenge !
Il me vient une vision ces derniers temps, une vision que j’aimerais partager avec vous et qui se construit, au gré de mes réflexions, de mes rencontres avec mes acolytes humain.es, et également au gré de mes inspirations…
Je suis en pleine lecture de ce livre, emprunté à la bibliothèque et écrit par la formidable Agnes Soulet. Un livre de développement personnel plein d’enseignements et qui nous apprend particulièrement à nous regarder en face, à travers les yeux du cheval.
Un miroir où on s’apprend, on se voit tel que nous sommes, avec nos parts d’ombres et de lumières. Quand l’homme et le cheval se rencontrent, cela crée un espace hors de tout, un arrêt sur images, là où les prises de conscience s’accélèrent, l’inconscient se conscientise. Les émotions refoulées se libèrent. La guérison s’opère.
Je me sens très alignée avec cet état d’esprit car je suis très intéressée par le développement personnel mais également les différentes thérapies existantes visant à remettre un éclairage sur nos blessures d’enfance non guéries et nos traumatismes intemporels. D’ailleurs, tout est intemporel, l’enfant blessé se développe en adulte qui use de techniques inconscientes pour se protéger et surtout éviter d’accéder à ses émotions qui lui feraient beaucoup trop souffrir.
Surfant sur cet élan, j’ai dans l’idée, à terme, de proposer des séances gratuites de connexion avec le cheval à la roulotte. J’aimerais venir, formée et avec un cheval également formé, dans des lieux auprès d’humains déconnectés de leurs cœurs, qui n’ont plus le mo(n)de d’emploi de ce qui se joue pour eux, avec eux-mêmes et avec les autres.
Il m’importe également de trouver ce court chemin, nous sommes tous en apprenti-sage n’est-ce pas ?
Je refais un clin d’œil à mon ami Angelo Foley qui a écrit cet autre merveilleux bouquin : « Les 21 peurs qui empêchent d’aimer ».
Partageant ma vision sur les réseaux sociaux, une très ancienne camarade de classe répond à mon appel et me propose de participer à sa soutenance de fin d’année de sa formation d’équithérapeute. Quel hasard et quelle chance !
La suite est à écrire…