Me voilà devant mon ordinateur à écrire un nouvel article 1 an après le dernier en juin 2019. Entre-temps, je suis venue avec Joel, un ami, trier et ranger pour faire place nette. Ça a été super réconfortant pour moi de me réapproprier l’espace.
Puis très vite, les vacances d’été sont arrivées et avec elles, la canicule. J’ai commencé à souffrir d’éco-anxiété et m’inquiéter pour ma famille. J’ai décidé de monter à Paris pour juillet et août et là, je viens tout juste de rentrer sur Montpellier.
En rentrant, j’ai eu besoin d’établir le bilan de ce que j’avais déjà fait depuis le départ et de réétudier la distance qui me séparait encore de mon objectif final. Je me suis rendue à l’évidence que j’étais trop seule, et qu’il me fallait du soutien régulier.
Pour le bricolage, je trouve toujours de la force amicale, grâce notamment aux brico-goûters que j’ai mis en place en début d’année. En revanche, pour la communication web, ce qui est pourtant mon domaine, j’observais des fragilités parce que justement, j’étais seule et conduire une stratégie seule sur un projet aussi gros, c’est un gros défi.
À ce stade et après toutes les frustrations éprouvées au cours de ces 3 dernières années, j’avais envie de facilité, d’entraide pérenne et solide. C’est pourquoi j’ai décidé de poster une annonce pour un poste de chef de projet communication web.
La nuit porte conseil et le lendemain de cette décision, je regarde l’annuaire de l’Accorderie, association locale de mise en relations pour troquer des compétences afin d’identifier sur un.e membre correspondrait au profil de ce que je recherche et BOUM ! Je tombe sur le profil de Camille, nouvelle accordeuse et voisine à 10 minutes de chez moi, qui propose ses compétences Marketing sur les réseaux sociaux.
J’y vois un signe, d’une part par nos prénoms et surtout, c’est le premier profil sur lequel je tombe. Je ne réfléchis plus et lui passe un coup de fil à 22h, elle répond.
Nous avons donc rendez-vous la semaine prochaine à la roulotte directement pour que je lui explique le projet, après lui avoir envoyé par mail la documentation nécessaire. Voilà, je suis heureuse, je pense qu’on va faire des choses pas mal si elle se sent reliée au projet !
La suite, au prochain article…